5 signes que ton critique intérieur (ton Coloc’) dirige TA vie en secret
Par Sophie - Publié le 18 septembre 2025
5 signes que ton critique intérieur dirige TA vie en secret
(Spoiler : il ne paie toujours pas son loyer.)
Tu connais cette sensation ? Celle de conduire ta vie avec le frein à main serré, et un passager hyper angoissé à côté qui commente chaque virage, chaque feu rouge et même ta façon de tenir le volant.
Ce passager clandestin, ce n’est pas le destin. C’est ton critique intérieur.
Chez Kintsugi Coaching, je l’appelle le « coloc' ». Le squatteur mental qui vit dans ta tête, critique tes choix de vie, finit le pot de Nutella en cachette et te laisse gérer toutes les angoisses.
Car ton coloc’ n’est pas un monstre de film d’horreur. Non, il est bien plus pervers. C’est un manipulateur passif-agressif de compétition, et son super-pouvoir est de te faire croire que sa voix, c’est la tienne.
Alors, comment savoir si ce casse-pieds a pris un peu trop de place ? Voici 5 signes qui ne mentent jamais.
1. Tu as un doctorat en « Je peux faire (encore) mieux que ça »
Le perfectionnisme, ce n’est pas une qualité. C’est la peur déguisée en ambition, et ton coloc’ en raffole. Sa devise ?
« Pourquoi faire simple quand on peut angoisser pendant des heures ? »
Concrètement, tu passes trois heures à peaufiner un email qui sera lu en 15 secondes. Tu repousses le lancement de ce projet qui est « presque prêt » depuis maintenant six mois. Ou pire, tu réussis quelque chose et ta première pensée n’est pas « Bravo ! », mais « J’aurais pu faire mieux » sur ce détail que personne n’a remarqué.
Bienvenue dans l’épuisement professionnel orchestré par un amateur.
2. Ta « To-Do List » te regarde avec le même air de reproche que ta grand-mère
La procrastination, ce n’est pas de la paresse, ma Kinti. C’est de l’auto-défense.
Ton coloc’ est tellement doué pour te décrire ton futur échec avec la précision d’un réalisateur hollywoodien que, forcément, tu préfères aller vérifier pour la 12ème fois s’il y a quelque chose de nouveau dans ton frigo.
En repoussant l’action, tu repousses le moment où il pourra te dire « Je te l’avais bien dit ! ». C’est une stratégie brillante pour éviter l’inconfort immédiat, mais désastreuse à long terme, car elle lui donne toujours raison.
3. Accepter un compliment est aussi confortable pour toi qu’une séance chez le dentiste
Scène classique : quelqu’un te fait un compliment sincère. Au lieu de simplement dire « Merci », tu paniques, tu rougis, et tu sors une justification improbable du type : « Oh ça ? C’est juste un vieux truc que j’ai retrouvé derrière le radiateur. »
Un compliment, pour ton coloc’, c’est comme de l’ail pour un vampire. Ça le brûle. Son job à plein temps est de te maintenir dans la croyance confortable que tu es « moyenne mais sympathique ». Toute preuve du contraire doit donc être immédiatement détruite.
En refusant de recevoir, tu valides son discours et tu restes bien sagement dans la case qu’il a choisie pour toi.
4. Ton critique intérieur est une radio qui ne passe qu’un seul titre : « Le Best-Of de tes pires moments »
Tu as fait une petite boulette à 11h du matin. À 23h, alors que tu essaies de dormir, ton cerveau décide que c’est le moment idéal pour un « replay commenté ».
Ton critique intérieur est un DJ sadique. Il prend ce petit moment embarrassant et le met en boucle, avec des ralentis et des analyses d’experts sur l’échelle de ta nullité. Il te force à revivre la scène jusqu’à ce que tu sois persuadée que c’était l’événement le plus grave de l’histoire de l’humanité depuis l’extinction des dinosaures.
5. Ton « Non » est une espèce en voie de disparition, comme le panda
Ton coloc’ t’a convaincue que ton abonnement à « l’amour et l’approbation des autres » serait immédiatement résilié si jamais tu osais avoir un besoin personnel ou une limite.
Résultat, ton « oui » est devenu un réflexe. Oui à cette mission de dernière minute, oui à cette soirée où tu n’as pas envie d’aller, oui à cette remarque déplacée que tu laisses passer.
Chaque « oui » forcé est une petite gorgée de poison pour ton estime de toi, et une coupe de champagne pour lui.
La bonne nouvelle ? Ce coloc’ est un escroc prévisible.
Si tu t’es reconnue dans ces signes, ne panique pas. C’est une excellente nouvelle.
Pourquoi ? Parce que le simple fait de l’observer, c’est comme allumer la lumière et réaliser que le monstre effrayant n’était en fait que le tas de linge que tu as eu la flemme de ranger.
Maintenant que tu vois ses techniques, tu vas pouvoir commencer à les déjouer.
Assez du subir ton critique intérieur ? Passons à l’action.
Tu as maintenant la preuve que cette petite voix a une influence bien réelle sur ta vie. La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas une fatalité.
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D’ici là, souviens-toi : ce n’est pas parce qu’il parle fort qu’il a raison.
Avec toutes mes parfaites imperfections,
Sophie
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